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L’été n’est pas déjà passé (quoi que… vu le temps…
Des clics et des claps. C’est l’été, le temps des chateaux de sable.
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It’s Playtime!
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Championnat du monde de Super Mario Kart
Tout comme en 2008 lors du premier Championnat d’Europe et…
Des clics et des claps. Prêts pour le voyage?
Prêts pour le voyage? (Nirvana, Gabriele Salvatores, 1997)
Vous aurez remarqué une petite variation cette semaine : au lieu de présenter un film adapté d’un jeu vidéo, j’ai décidé de vous parler d’un film mettant en scène le jeu vidéo. Je pense ainsi varier un peu les plaisirs de temps à autre et j’espère que vous apprécierez ces petites incursions dans la sphère plus large du cinéma.
Et pour inaugurer ces disgressions, j’ai choisi Nirvana, de Gabriele Salvatores, film relativement peu connu mais mettons tout de suite les choses au clair, que je trouve absolumennt génial. Pourquoi? Et bien, voici quelques éléments de réponse :
– le personnage principal est joué par Christophe Lambert
– ça n’est pas un film holywoodien, ni même américain
– c’est un film cyberpunk
– c’est une mise en abîme subtile du jeu vidéo et de la réalité.
Pas convaincu? Résumons brièvement l’histoire avant d’examiner ces points plus en détail.
Des clics et des claps. Sur Mars et ça repart!
Sur Mars, et ça repart! (Doom, Andrzej Bartkowiak, 2005)
Après avoir présenté deux films adaptés de jeux de combat, il est temps de faire une pause douceur. C’est pourquoi je vous propose une balade sur la planète rouge : ses paysages rieurs, sa population acueillante, son atmosphère sereine et détendue. Mars : Luxe, calme et volupté, aurait pu dire le poète. Dommage qu’on ne soit pas poète! Car Doom, c’est un truc de bourrin, en jeu comme en film, avec du sang, des tripes et des trucs qui bougent dans le noir.
Le film est surtout basé sur Doom 3, sorti l’année précédente, et comme je ne suis jamais allé plus loin que le 1 (et encore pas jusqu’au bout), j’avoue avoir été assez surpris par l’ambiance. Entre une première partie où se succèdent des salles et des couloirs vides avec des ennemis furtifs qui jouent
Golgoth studio finalise Toki Remixed
Toki ça vous dit quelque chose? Vous savez, un blondinet…
Des clics et des claps. Le Kombat de la mort qui tue.
Le Kombat de la mort qui tue (Mortal Kombat, Paul W. S. Anderson, 1995)
Suivant de près la sortie de Street Fighter le film, Mortal Kombat profite de l’engouement de la période pour les adaptations de jeux vidéos. Projet ambitieux (Cameron Diaz et Sharon Stone ont été approchées pour le rôle de Sonia, Van Damme pour le rôle de Johnny Cage), la seule star qui figurera finalement sur l’affiche sera Christophe Lambert dans le rôle de Raiden. Le scénario reprend les grandes lignes du premier épisode du jeu, avec quelques petites libertés (la présence de Kitana en particulier, ou une apparition de Jax).
Pour le reste, on retrouve tous les combattants du jeu : Liu Kang, Sonya, Johnny Cage et Rayden pour le camp des bons et Kano, Scorpion, Sub-zero pour les méchants. Les deux boss du jeu sont aussi présents en la personne de Goro qui n’est pas trop mal fait (un homme-dragon à quatre bras, il y avait pourtant de quoi avoir un peu peur)