[Salon] L’Alchimie 2011: Un élixir pour les Ordi Rétros
Qu’est ce que l’Alchimie?
C’est deux ans après la précédente édition que l’association Triple A renouvèle l’Alchimie, plus grand rassemblement francophone d’Amigaïstes. Cette convention tenue à Tain-l’Hermitage est devenue biennale pour des raisons évidentes de complexité d’organisation. Outre les traditionnelles retrouvailles entre utilisateurs, l’Alchimie permet de voir ou revoir nos machines préférées mais également de découvrir de nombreuses nouveautés.
Jeudi 10 Novembre
Pour les précédentes éditions, j’avais choisi d’arriver le vendredi après-midi et de repartir le lundi après-midi. Fort du constat qu’une partie du vendredi était amputée par le voyage, j’ai décidé cette année d’arriver le jeudi après-midi.
Pourquoi parler du jeudi après-midi ?
10 JEUX – 1 MACHINE – Quand l’Amiga jouait les blockbusters des années 80
Cet article aurait aussi pu aussi s’appeler 10 (pas toujours si mauvais) jeux adaptés de (pas toujours si bon) films cultes des années 80.
Le cinéma a été très tôt, sans doute dès le départ, une source d’inspiration pour les concepteurs de jeux vidéos et les adaptations de films ont été depuis longtemps une manne pour les éditeurs. En effet, les efforts pour adapter un film sont moindres que pour créer un jeu original avec son propre univers, et comme le succès du film assurait une rentrée financière quasi assurée aux jeux dérivés, cela ne poussait pas non plus les programmeurs à tirer la quintessence de leurs produits, programmés dans l’urgence et sur plusieurs plates-formes à la fois, ce qui ne permettait pas d’optimiser les jeux en fonction des machines.
Certains éditeurs s’étaient spécialisés dans cet exercice, comme Océan ou US Gold, avec assez souvent à la clé des jeux assez moyens, voire carrément nuls, il faut bien l’avouer! Les principaux défauts étaient un univers retranscrit à la va vite et qui décevait le fan du film en question, une réalisation technique souvent très moyenne, et une jouabilité très approximative. Bref un bon film n’était que très rarement la garantie d’un bon jeu! L’Amiga, comme toutes les machines des années 80 a eu son lot d’adaptation, pour le pire mais parfois aussi le meilleur. Pour notre petit voyage dans le temps et en pixels à Hollywood, j’ai sélectionné ici 10 titres tirés de films à succès de la même période. Alors, silence, moteur, on joue!
Oldies but Goodies
Bien que la période de Noël soit passée, nous allons parler aujourd’hui de cadeaux. En effet, si l’industrie du jeu vidéo ressemble plus aujourd’hui à un aquarium rempli de requins âpres au gain comme le rappelait récemment JF dans son article sur la dématérialisation des jeux vidéos, il n’en a pas toujours été ainsi. Il fut même un temps (que les moins de 20 ans, ne peuvent pas connaitre), où les joueurs émerveillés que nous étions découvrions avec bonheur des boîtes pleines à craquer d’objets divers et plus ou moins insolites, les fameux goodies.
Il faut dire qu’à l’époque les boites étaient plus grosses que celles d’aujourd’hui, le format du boitier DVD étant devenu la norme et tendant même à rétrecir encore (boitier PS3 par exemple). D’ailleurs ces grosses boites cartons étaient l’apanage des ordinateurs, les consoles devant déjà obéir à des impératifs de rentabilité féroces (pour commencer, il fallait bien payer la licence à MM. Sega & Nintendo). Sur micro dans les années 80-début 90, les programmeurs en étaient encore à bricoler des jeux dans des chambres d’étudiant et à coller les étiquettes à la main sur les disquettes (véridique! voir cette news sur l’éditeur français Infomédia dans le Génération 4 n°11). Mais du coup, ces grosses boites étaient l’occasion d’un remplissage parfois énorme d’objets variés.
[emulation] iamiga, chapitre 1 – l’avènement du mal !
« Choppes-le ! »
« Il tourne à droite dans la ruelle, unité 4, vous l’avez les gars ! »
« C’est bon on est sur lui, on essaye de maîtriser l’individu »
« Suspect appréhendé ! »
« Lis-lui ses droits, je ne voudrais pas qu’il y ait un problème! »
« ah ah mon gars t’es mal, violation de la propriété intellectuelle, mise à disposition de logiciel pirate, hacking, t’en a pour perpette ! »
« Hadopi 3 nous a bien servi et encore un qui avait des roms amiga pirates ! Tous les mêmes et en plus, il se ballade avec la preuve sur eux ! Trop facile ! »
Qui suis je ? Connu pour être un atariste, je vais donc critiquer l’amiga … non plutôt être fermement avec ! Et aussi craindre pour l’avenir…
10 JEUX – 1 MACHINE – Le Shoot’em Up sur Amiga en 10 jeux
Pour ce premier volet d’une nouvelle rubrique consacrée à l’histoire vidéoludique de l’Amiga, j’ai choisi un des genres emblématiques du jeu vidéo, le shmup (ou shoot’em up, soit dans la langue de Molière « descendez les tous »). Nous allons donc explorer le genre et son évolution sur notre machine fétiche, l’Amiga. J’ai volontairement écarté de cet article les jeux hybrides, et les jeux à scrolling multidirectionnel inspirés d’Astéroids (comme les excellents Amnios, Stardust ou Cross Fire 2), pour me concentrer sur le coeur du genre : des vaisseaux, des lasers, des aliens et de l’huile de coude. Sorti en 1985, l’Amiga arrive une fois que les règles du genre ont été bien définies par les grands ancêtres : boss, vagues d’ennemis, évolution de l’armement, etc. A partir de cet héritage comment vont se démarquer les shmups sur la machine?
La série Alien Breed
ALIEN BREED
Avec la sortie ce 22 septembre 2010 du 2ème épisode de la nouvelle trilogie Alien Breed en téléchargement sur PC et Xbox 360, Baptisé Alien Breed 2 : Assault [voici quelques images du trailer],
je vous devais bien un petit point sur cette longue série sortie à l’origine sur Amiga.
L’Amiga 1000 a 25 ans
L’Amiga 1000 est le premier ordinateur de la gamme sorti en 1985 ! Il ne disposait pas de ROM comme l’Amiga 500 son successeur, il devait booter sur une disquette (kickstart) avant chaque démarrage. Equipé d’un processeur Motorola 68000, 256ko de Chip Mémoire extensible, il était le concurrent direct de l’Atari 520ST.
AMIGA 1200 Magic
[OrdiRétro vous propose un 3ème article sur les ordinateurs que nous possédons et que nous pouvons exposer]
En 2010 nombreux sont ceux qui achètent encore ce type d’Amiga, quelle en est la raison ? car cet Amiga 1200 est la machine idéale pour en faire une machine de jeux pour le rétrogaming.
En effet en y ajoutant une extension de mémoire de 4 à 8 Mo ou une carte accélératrice comme par exemple un Blizzard IV 1230 à 50Mhz,
un disque dur 2.5′ IDE ou une Compact Flash avec son adaptateur IDE vers Compact Flash, vous avez une machine permettant
de lancer tous les jeux et démos sortis de l’Amiga 500 au 1200 sans disquettes avec un programme appelé WHDLoad.
Commodore Amiga 600
[OrdiRétro vous propose un 2ème article sur les ordinateurs que nous possédons et que nous pouvons exposer] Comme dit Marcus de GameOne ou Nolife ! c’était mieux avant !
Sorti début 1992 et appelé au départ A300 l’Amiga 600 succède à l’Amiga 500 et reprend l’architecture de son ainé en plus petit. Décliné en 2 versions, dont une avec disque dur de 40Mo
L’intention de Commodore était de faire remonter les ventes avant que le nouvel Amiga 1200, plus sophistiqué, devienne disponible.
La particularité de l’Amiga 600 est sa petite taille, 35cm de long par 24cm de profondeur, 8cm en hauteur et pesait approximativement 3kg mais sans pavé numérique.A l’intérieur une nouveauté un bus IDE qui lui permet de monter un disque dur de 2.5 pouces (aujourd’hui nous remplaçons ce disque dur par une Compact Flash en IDE grâce à un adaptateur)
Commodore Amiga 500
[OrdiRétro vous propose une série d’articles sur les ordinateurs que nous possédons et que nous pouvons exposer] Comme dit Marcus de GameOne ou Nolife ! c’était mieux avant !
L’Amiga 500 est le modèle d’entrée de gamme de la famille d’ordinateurs Commodore. Sorti en 1987, deux ans après l’Amiga 1000, en même temps que le modèle haut de gamme Amiga 2000.
La version standard propose le multi-tâches pour tous. Le rival éternel de l’Atari 520ST. Nommé le plus souvent l’A500, ce dernier est plus performant, multitâche, il affiche plus de couleurs et dispose de capacités largement supérieures.
Il sera toujours plus cher que le 520ST mais restera toujours la machine préférée des démomakers qui l’utilisent lors de parties pour écraser l’Atari ST.